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"Marseille année 40" de Mary Jayne Gold

Marseille année 40

La presse unanime....


Une fille en or, miss Gold....Une autobiographie qui vaut les meilleurs romans.
Évelyne Lever, Figaro Madame, 24 mars 2001

Quel bouquin, et quelle bonne femme!  Ça commence comme du Fitzgerald, ça continue comme du Lubitsch et ça finit comme Casablanca (le film de Michael Curtiz): c'est Marseille année 40 de Mary Jayne Gold....Les Mémoires d'un "amateur", mais, une fois de plus, un amateur écrase bien des professionnels...Ce qu'on lit comme un "vrai roman" est aussi un document historique capital, qui est à mettre auMichel Polac côté de ce chef-d'œuvre, La Lie de la terre de Koestler, et aussi de Le Diable en France de Feuchtwanger....On pourrait évoquer aussi Transit, le roman d'Anna Seghers, mais à quoi bon un roman quand la réalité dépasse la fiction?
Ah, quel bouquin! par Michel Polac, Charlie Hebdo, 4 avril 2001; chronique sur France-Inter, La Partie Continue, 29 mars 2001

Mary Jayne Gold, pauvre petite fille riche américaine, découvre Marseille en 1940.  Elle y croise les plus grandes figures de l'époque, alors en fuite, travaille aux côtés de Varian Fry, s'amourache d'un truand...  De ses aventures lovées au cœur de la grande histoire, survit un récit follement romanesque.
Marseille paradis d'enfer par Jean-Maurice de Montremy, Livres Hebdo, 23 février 2001

Le récit de Mary Jayne Gold se lit comme un roman.  Pour ma part, je n'ai jamais entendu raconter avec plus d'authenticité ce qu'était devenu Marseille entre 1940 et 1941.
Une femme à l'audace tranquille par Edmonde Charles-Roux de l'Académie Goncourt, La Provence, 8 avril 2001
Edmonde Charles-Roux, dont il faut lire la
Préface à Marseille Année 40--et ne pas manquer le brillant récit-photos L'Homme de Marseille--parla aussi de Marseille Année 40 dans Bouillon de Culture (20 avril 2001)

Il était une fois une Américaine jeune, belle et riche.  Elle s'appelait Gold, ça ne s'invente pas....Elle reste [en France] lorsque les troupes allemandes déferlent sur la France....[La] jeune mondaine, au lieu de s'embarquer, s'incruste [à Marseille].  A lire son livre, si clair pourtant, si obstiné à ne rien laisser dans l'ombre, on ne comprend toujours pas cette espèce de fascination qui l'immobilise.  Comme si elle découvrait enfin, dans cette ville, surpeuplée et surexcitée, où affluent des réfugiés du monde entier, perdus, effrayés, quelque chose de la vie réelle qui lui a toujours été refusée.  Elle fait connaissance de l'humanité, tragique bien sûr, mais aussi tellement plus riche, plus diverse, plus émouvante que le théâtre d'apparences dans lequel elle s'est promenée jusqu'alors....Mais c'est comme si elle ne sentait pas encore le danger d'assez près, comme si son cœur ne battait pas encore assez vite.  Voilà qu'elle tombe amoureuse d'un déserteur de la Légion, un petit malfrat nommé Raymond Couraud et affligé du charmant sobriquet de Killer.  Les amours de la riche héritière et du jeune demi-sel, lequel n'hésitera même pas a voler les bijoux de Mary Jayne, ressemblent tellement à un scénario de film hollywoodien qu'on croit tenir la clé du personnage de Miss Gold: se payer une vie comme dans un film, devenir l'héroïne de sa propre fiction....{Au] delà du témoignage historique, on ne peut qu'être surpris, ému, séduit par le personnage si romanesque de la mémorialiste.  Par sa manière de tout dire sans jamais se flatter, au contraire, par la fraîcheur de ses souvenirs gardés précieusement dans sa mémoire comme ceux des plus belles années de sa vie; par une sorte de nostalgie qui ne s'avoue jamais d'une époque où son argent, son éducation, ses manière, au lieu de faire barrage entre elle et la vie, servaient enfin à quelque chose.  Elle a vécu un an de tout son esprit et de tout son corps, follement, passionnément.
Un cœur d'or par Pierre Lepape, Le Monde, 20 avril 2001

Jackie Kennedy était fascinée par son histoire: Mary Jayne Gold, parfaite WASP, blonde et pâle aux longues jambes, risqua sa vie pendant un par amour pour un légionnaire, et par goût du risque, dans la lignée des héroïnes de Francis Scott Fitzgerald....L'année 1940 est son année folle, son heure de gloire.  Une parenthèse qui finit à Marseille: Mary Jayne y connaît l'amour fou dans les bras d'un déserteur, et découvre le froid et la faim.  Alors qu'elle avait la possibilité d'embarquer et de rentrer aux États-Unis, la golden girl choisit l'aventure.
Mémoires d'une jeune fille délurée par Isabelle Lortholary, Elle, 9 avril 2001

Marseille 1940 est plus que jamais le carrefour de tous les destins. Héros, paumés, réfugiés, faux intellectuels, vrais génies, truands d'anthologie se retrouvent du côté de la Canebière au moment où la France s'effondre....Mary Jayne Gold, habituée de la « jet-set » de l'époque, indignée par la lâcheté de l'époque, à commencer par celle de son pays, met son argent au service d'une juste cause....Le récit oscille entre Pépé le Moko et Casablanca. L'humour n'est jamais loin, comme les larmes qui pointent bien souvent....l'on se prend à revivre les scènes de La Scoumoune et de ces films où les héros, dans le plus pur style de la tragédie antique sont tirés par les fils du destin. Marseille, année 40 est un livre de voyage au bout des passions et des êtres, face à la Méditerranée et à l'appel d'un grand large sévèrement gardé par les forts qui ont inspiré à Dumas Dantès le révolté.
La millionaire et le légionnaire, L'Alsace, 8 avril 2001

Une atmosphère qui n'est pas sans rappeler Touchez pas au Grisbi et autres Razzias sur la Chnouff.  La tragédie mondiale dont Mary Jayne Gold vécut les douloureux avatars gagne ainsi en pittoresque et en désinvolture, ce qui rend ces pages aussi trépidantes qu'un roman d'aventures.
Raya Baudinet, Page des Libraires, avril-mai 2001

Explosif.  D'une dinguerie émouvante et passionnante.  Une année à Marseille qu'on ne peut oublier.
André Rollin, Le Canard Enchaîné, 9 août 2001

Rarement livre légendaire fut à ce point historique et sincère.  Pour faire court, disons que Marseille Année 40 serait la vie d'une Ginger Rogers de la haute société bostonienne vivant en France sur un air de Fitzgerald flanquée d'un caractère trempé d'Hemingway en jupons....Avec une élégance et une franchise rayonnante, Marseille Année 40 fait entendre une vérité polyphonique qui éclaire un chapitre ténébreux mais passionnant de notre Histoire.
La miss du Vieux-Port par J. M. Ulmann, Impact Médecin Hebdo, 20 avril 2001

"J'avais l'intention de mettre de l'ordre dans mes papiers et de rentrer aux États-Unis.  Mais il se trouva que je me laissai entraîner en quelques jours dans une relation avec un jeune aventurier qui venait de déserter la Légion étrangère.  Quelques semaines plus tard, je rejoignais le 'Centre américain de secours' de Varian Fry, qui préparait l'opération 'Mouron Écarlate', consistant à faire secrètement sortir de France, par des moyens légaux ou illégaux, des centaines de réfugiés anti-nazis, aussi bien juifs que non juifs."  Voilà comment, par amour, une jeune fille de la bonne société américaine se retrouve mêlée à l'univers glauque des petits malfrats marseillais tout en se dévouant pour sauver de grands intellectuels et des hommes politiques des griffes de la Gestapo.
Marseille 40: un refuge d'artistes par Anna Muratori-Philip, Le Figaro Littéraire, 5 avril 2001

Lorsqu'il est sorti aux Etats-Unis, en 1980, et malgré sa célèbre éditrice (Jacqueline Kennedy), ce récit a remporté peu de succès, les Américains n'étant passionnés ni par l'Europe ni par le passé. Ce qui n'est pas le cas des Français, et ce document terriblement romanesque qui paraît avec une préface d'Edmonde Charles-Roux, devrait toucher plus d'une génération. Malheureusement, Mary Jayne Gold n'est plus là pour nous en parler. Elle est morte en 1997, à quatre-vingt-huit ans, sur la Côte d'Azur, dans ce pays qui a transformé la frivole héritière en héroïne de guerre.
Comment une frivole héritière devint héroïne de guerre par Pascale Frey, Lire, avril 2001

Ce livre...vaut par la qualité de son témoignage: franc, naturel et généreux, à l'image de celle qui l'a écrit en se souvenant de sa jeunesse.
Une Américaine à Marseille, entre milieu et réfugiés par Isabelle Martin, Le Temps, Genève, 7 avril 2001

Lisez-le...tant il est atypique parmi les témoignages sur la Seconde Guerre Mondiale.  Romanesque.
Trends Tendances, 5 mai 2001

A lire comme le versant féminin, audacieux, drôle, d’un moment historique.
Clara Dupont-Monod, Marianne, 6 mai 2001


[Une] étonnante aventure….Un personnage hors du commun.
Jean-Claude Lamy, Midi Libre, 21 avril 2001

Une étonnante fresque de la France de 1940-41… Une rareté à savourer.
Femmes d’Exception
, Côté Femme, 9 mai 2001


Aux confins du romanesque, à la limite du roman-fleuve, l'ouvrage s'avère absolument palpitantL'Histoire s'y mue en aventure.  Mary Jayne Gold parvient, en un récit qui frappe par son humilité, à créer un véritable tempo narratif, sans jamais pourtant perdre de vue la gravité de ce qui est en train de se jouer.

L. M. D. S., Chroniques (Strasbourg), juin 2001

 

Ce témoin conte avec fraîcheur son parcours authentique en une contribution vivante et lumineuse à l’histoire d’une période de ténèbres.
D. B., La Nouvelle Vie Ouvrière, 27 avril 2001
 


Le livre possède les vertus d’un livre historique qui ne serait pas déplacé au rayon des polars.

Marseille, ultime porte de l’espoir… par Marie-Jose Lembo, Marseille, 2 mai 2001

 

Passionnant.

Marie-Claire, juin 2001

 

Le récit véridique, incroyable et plein de péripéties de la vie de cette femme pas comme les autres.  Passionnant.

Nathalie Cottin, Question de Femmes, juin 2001

 

L’évocation de la France occupée est remarquable.

L’Arche, mai 2001

 

Une belle leçon d’audace et de liberté.

Atmosphères, juin 2001

 

Mélange très vivant de souvenirs personnels et de petite histoire, qui donne une bonne image de cette époque; on se prend de sympathie pour cette jeune femme hors du commun.

Notes Bibliographiques, mai 2001

 

Le témoignage, historique, est captivant.  Et, à l’arrivée, la jeune femme particulièrement attachante.

Corinne Vanmerris, La Voix du Nord, 4 mai 2001

 

Mirobolant.

Maurice Nadeau, La Quinzaine Littéraire, 31 mai 2001

 

Le récit...a tout d'un roman rocambolesque....Ça semble incroyable, mais tout cela est vrai!

Phosphore, août 2001

 

Le livre d’une vie absolument rocambolesque écrit sans effets, et bouleversant d’authenticité qui restitue le Marseille de l’Occupation allemande avec une grande rigueur historique.

Maxime Romain, La Marseillaise, 25 mai 2001

 

Quelle aventure!  Récit bouillonnant, criblé d'étoiles, à la fois tragique et drôle, étonnamment imagé.

René Vigo, L'Est éclair (Troyes), 9 aout 2001

 

En 1940, Mary Jayne Gold ressemble à « l’ange frais débarqué à Marseille hier matin "d’Appolinaire"....Le récit est truffé d’instantanés savoureux relatant la vie quotidienne en compagnie de géants de l’art ou de la littérature....Un vivifiant témoignage de ce que peut la liberté d’esprit… y compris face à la pire entreprise de mort du XXème siècle.

L’indomptable par Isabelle Nouvel, Paru

 

[Les] relations de Raymond Couraud, dit Killer...avec le milieu marseillais, ses combines, sa tendresse bourrue à la Gabin en font un héros irrésistible.....Ces mémoires ont la fraîcheur et l'allant des souvenirs de vieille dame.  Humour, action et générosité en font le versant romanesque de "Transit."
De la jet-set à la Résistance par Evelyne Bloch-Dano, Marie-Claire, juillet 2001

 

Le récit d'une étonnante expérience humaine, courageuse, chaleureuse, excellemment racontée....Un récit de résistance qui force l'admiration.

Jacinto Lageira, L'Oeil, juin 2001

 

Se lit comme un trépidant roman d'aventures.

Page des Librairies, juin-juillet-août 2001

 

Un livre de souvenirs qui se lit comme un roman d'aventures.

M. A., BIBA, juillet 2001

 

L'itinéraire d'une délicieuse enfant gâtée.

Etienne de Montety, Le Figaro Magazine, 23 juin 2001

 

Aux confins du romanesque, à la limite du roman-fleuve, l'ouvrage s'avère absolument palpitant....Mary Jayne Gold parvient, en un récit qui frappe par son humilité, à créer un véritable tempo narratif, sans jamais pourtant perdre de vue la gravité de ce qui est en train de se jouer.

L. M. D. S., Polychroniques, mai 2001

 

Le risque est une forme particulière d'érotisme.  Mary Jayne va s'y lancer à corps perdu, mais en gardant la tête froide.  Elle fera merveille.
Marc-Emile Baronheid, L'Express (Belgique), 15 juin 2001

 

L'une de ces femmes dont le destin exceptionnel s'écrit en lettres de feu sur une page sanglante de l'histoire....[Un] livre à l'écriture raffinée, un témoignage hallucinant de courage et d'humourQuand la réalité dépasse à ce point la fiction, le récit se dévore comme un roman d'aventures.
B. R., Femina (Suisse), juillet 2001

 

L'ouvrage n'est pas un roman, mais du genre romanesque, il possède tous les ingrédients.  Hissés à un incroyable degré d'intensité.  Émotion et drôlerie, fantaisie et grands sentiments, frisson du danger et rebondissements rocambolesques... tout ceci emmêlé au fil de 500 pages sans temps morts....Une authentique héroïne, à tous les sens du mot.

Nathalie Crom, La Croix, 21 juin 2001

 

Un livre de mémoires d'une grande force où, une fois encore, la sincérité et la générosité d'un amateur l'emportent sur bien des professionnels....Document historique capital...Un livre où tout est vrai mais parfois tellement invraisemblable.
Marie-Louise Bernasconi, Réforme, 30 août-5 septembre 2001

 

Une quête initiatique exemplaire....Une voluptueuse invitation à la vie, même quand celle-ci côtoie les drames ordinaires.
Cédric Fabre, Témoignage Chrétien, 28 juin 2001

Révèle des pans entiers d'une histoire relativement peu connue.  Dense et menée d'une plume alerte.  Comporte une iconographie tout à fait passionnante.
Alain Favarger, La Liberté (Suisse), 21 août 2001

 

Ce n'est pas un roman, c'est le récit d'une tranche de vie et quelle tranche!  Quelle leçon!
Radio Antipode (Louvain-la-Neuve), 23 juillet 2001

 

Elle est jeune, très jolie, excessivement riche, et américaine jusqu'au bout des ongles. Elle a tout pour vivre une existence brillante, à l'abri des malheurs du monde. Mais elle aime la France, et nous sommes en 1940. Alors, dans ce pays bientôt exsangue, elle va participer à l'une des plus étonnantes aventures de ces années tragiques. Avec Varian Fry et quelques amis du consulat américain de Marseille, elle aidera à sauver un contingent appréciable d'intellectuels, d'artistes, de syndicalistes allemands ou autrichiens, juifs ou non, piégés par la France de Vichy. Contraste surprenant, entre cette âme débordante de sensualité, de pragmatisme et d'enthousiasme, et la funèbre apocalypse alors en marche, la dépression morbide où sombre toute une nation : c'est sans doute la force de ce gros livre généreux, fourmillant de détails et de personnages fascinants, grands intellectuels comme André Breton, Alma Mahler-Werfel ou Victor Serge, et petites frappes de la pègre marseillaise comme son copain Killer, qu'elle aime avec une insouciance euphorisante. Car Mary Jayne est une femme libre, superbement libre, et cette liberté de corps et de jugement, ce regard intelligent et engagé sur une histoire qui n'aurait pas dû la concerner, en font un personnage unique et formidablement attachant.
Scarbo, Amazon.fr

 

Mary Jayne Gold est jeune, jolie, riche et américaine. Nous sommes en 1940, elle vit en France et rejoint la résistance aidant à sauver des intellectuels, des artistes et des syndicalistes piégés par la France de Vichy. Une femme superbement libre, déterminée et courageuse, une vie romanesque à dévorer sans modération
L'avis de la Fnac

Préface d'Edmonde Charles-Roux

Note de l'éditeur par Jean-Pierre Sicre

Postface de Pierre Sauvage

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